08 Déc

45 ans, l’âge d’or ?

45 ans, l’âge d’or ?

A 25 ans, un recruteur va hésiter à engager une femme de peur qu’elle fasse un enfant.
A 35 ans, il va hésiter à promouvoir une femme car elle a des enfants en bas âge.
A 45 ans, quand il faut faire des choix, il est « plus facile » de se séparer d’une collaboratrice femme.

Quelle erreur !
Une femme de 45 ans c’est :
– Une femme d’une grande expertise, qui a dû prouver sa crédibilité en travaillant deux fois plus.
– Une femme qui a souvent sacrifié beaucoup et qui n’a cessé de montrer son engagement.
– Une femme d’une grande efficacité car elle a toujours su combiner carrière professionnelle et gestion de la PME familiale.
– C’est un cerveau différent ! Et l’intelligence collective augmente avec la mixité !

Je rencontre de plus en plus de femmes de plus de 45 ans qui ont trop souffert de stéréotypes ou de schémas traditionnels. Et je constate aujourd’hui que ce sont elles qui ont le mieux compris comment exploiter ce manque de reconnaissance. Quand elles butent sur un schéma trop classique, qu’elles peinent à avancer ou à être recrutées, elles mettent toute leur énergie, leur intelligence et leur expertise pour se lancer à leur compte. La croissance de réseaux comme GENUINE WOMEN en est la parfaite illustration.

Recruteurs, croyez moi, les femmes de plus de 45 ans sont un formidable vivier de talents.
Voici pour les moins convaincus, une étude très interessante de la confédération sur ce sujet qui ne date pas d’hier mais qui déjà couvrait le sujet http://swll.to/xQeOikY.

Je suis preneur de votre avis ou de votre expérience !

#employabilite #parité #lalliedevosdefishumains

24 Nov

Le co-working peut-il ré-enchanter le travail ?

Le co-working peut-il ré-enchanter le travail ?

Il y a quelques semaines j’enregistrais un podcast avec les équipes de Coworking Switzerland et je répondais à la question : comment ré-enchanter le travail ?

Contrairement à ce que nous avions pu penser, la crise du covid n’a pas entrainé une réduction drastique des surfaces de bureaux. En revanche la crise a posé les questions suivantes :

– Comment les entreprises peuvent-elles créer plus de vie au sein de leurs locaux ?

– Si solution hybride choisie, comment bien choisir son espace de co-working ? Et plus largement, comment un espace peut-il refléter une culture d’entreprise ? Car l’enjeu est là. Que ce soit dans un espace de coworking ou au sein de ses propres locaux, il est nécessaire aujourd’hui de réfléchir en termes d’ADN d’entreprise.

  • Comment souhaitez-vous collaborer ?
  • Les espaces d’échanges sont-ils à favoriser ?
  • Comment gérer la confidentialité ?

Déjà plusieurs acteurs proposent une solution hybride entre leurs bureaux au siège de l’entreprise et un espace de travail en périphérie. De nombreuses espaces de co-working se sont ouverts. Chacun a sa propre personnalité et peut correspondre à un type de fonctions ou de secteurs plutôt qu’à un autre.

COMINMAG.CH dressait d’ailleurs il y a quelques temps un panorama de l’offre genevoise à retrouver sur ce lien http://swll.to/ukzzr.

Et vous ? Avez-vous initié des changements dans l’aménagement de vos postes de travail depuis la crise ?

L’integralité du podcast est à écouter ici :

📻 Spotify: https://lnkd.in/gvyXrPfh
📻 Google podcast: https://lnkd.in/gTNhYXyT
📻 Apple podcast: https://lnkd.in/gZdGng6p
📻 Anchor: https://lnkd.in/g6NHQdQj

#coworking #management #lalliedevosdefishumains